Ce Mardi 13 septembre, Françoise a cloturé la saison de cet accueil délocalisé en se rendant dans la Rue de Paris au Bugue, en plein coeur du marché. Il est donc temps de faire un petit état des lieux de cette initiative lancée il y a maintenant 2 ans.

Vous retrouverez les chiffres exacts dans le Tableau de fréquentation ci-dessous, mais les chiffres ne révèlent pas tout.

Voici les retours des conseillères en séjour présentes sur place ainsi que des touristes venus dans les bureaux d’informations pour donner leurs impressions sur le territoire.

Pour la deuxième année consécutive, on peut signaler que l’initiative de cet accueil sur le terrain est très apprécié des touristes.

Certains points stratégiques comme les marchés sont des lieux de rencontre particulièrement pertinents. Ils permettent de donner un maximum d’indications sur le territoire a des touristes décontractés, peu pressés et friands de petites informations précises et personnalisées.

Les nouveaux points d’accueil testés cette année ont nécessités quelques aménagements en cours d’été.

Mathilde, saisonnière qui a largement participé à cette initiative, a constaté que l’accueil HLM est facilité s’il est annoncé dans les lieux qui accueillent. Il est donc plus difficile sur les aires d’accueil des camping-cars où le premier accueil est plutôt réservé. Néanmoins une fois la surprise passée, le contact passe bien, l’initiative est très bien perçue ; elle s’ajoute à une qualité d’accueil jugée très bonne dans l’ensemble sur les 3 aires (Le Bugue, Les Eyzies, Montignac) : qualité des aires de stationnement, services, tarifs…

Dans les campings, l’initiative est prise par les propriétaires / responsables comme un service apprécié de l’OT, et par les clients comme une aide pour organiser le séjour.

Sur les résidences de tourisme, le constat est aléatoire en fonction des plages de présence de l’office dans la structure et de la prise en charge initiale de la Résidence. Pour certains, la présence de l’office de tourisme était réellement attendue, pour d’autres, une meilleure communication entre les différents acteurs du territoire suffirait.